vendredi 14 novembre 2014

Une faute bienheureuse : roman


Après qu’on l’eut meurtri dans son cœur et dans sa chair, sans qu’il n’ait fait la moindre offense à personne, mais seulement après qu’on lui eut demandé pardon, il trouva les mots justes pour éveiller chez l’homme son aptitude au pardon, pour stimuler l’essence de la fraternité qui s’émoussait chaque jour davantage : « Si nous ne sommes pas capables de pardonner à nos frères qui nous ont causé du tort, consciemment ou pas, comment pouvons-nous espérer être pardonnés à notre tour ? Si l’homme est un loup pour l’homme, l’être a pour remède l’être. » Voici ce qu’il répondit. Enfin affranchi de toute haine, il fit un pas vers son tortionnaire et ils s’embrassèrent fraternellement, lui montrant en cela qu’il venait d’absoudre ses torts.

Sommes-nous capables d’un exploit semblable ?

« Ce roman prenant, récit du parcours d’un jeune Congolais qui, de retour dans son pays natal après deux décennies à l’étranger, va se retrouver bien malgré lui la victime d’une injustice difficile à digérer, nous a plu. Votre intrigue prend toute sa dimension dans l’évocation de valeurs fortes et humanistes, à commencer par les notions de pardon et de fraternité. »
Pr Mwimba, critique littéraire

 
Gilbert TSHIBANGU Kankenza est né à Goma, dans le Nord-Kivu, en République Démocratique du Congo, en 1953. Il a enseigné pendant quelques années avant de travailler dans l’informatique. Aujourd’hui cadre dans une entreprise pétrolière à Kinshasa, il s’intéresse à la contribution de l’homme noir dans la civilisation universell

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